Stéphane Decker, Supélec 1992

Stéphane Decker, Supélec 1992

« Donner est pour moi un juste retour des choses. »

En tant qu’Ancien, je suis resté attaché à l’École.

Et je soutiens la Fondation avant tout car je me sens redevable de ce que l’École m’a apporté. C’est pour moi un juste retour des choses.

Je tiens particulièrement à aider les étudiants qui peuvent rencontrer des difficultés.

Je n’ai pas été confronté à ce problème lors de mes études, mais l’époque est plus difficile aujourd’hui. On parle beaucoup de l’ascenseur social qui est en panne, c’est un sujet réel et complexe. On voit bien, dans les classes préparatoires, qu’il y a très peu d’élèves issus de milieux modestes. Je trouve que CentraleSupélec et la Fondation agissent dans le bon sens pour permettre davantage de diversité au sein des étudiants tout en gardant une forte exigence en terme de niveau. Il faut aussi plus de parité !
J’ai moi-même deux filles en études d’ingénieur, je suis donc très sensible à cette problématique.

« L’époque est plus difficile aujourd’hui pour les étudiants.
Il faut plus de diversité, et plus de parité ! »

Le logement sur le campus est très important aussi.

De mon temps, seules les premières années étaient en résidence étudiante, puis les autres en colocation aux Ulis. Tout est très différent quand on vit sur le campus, notamment la vie associative, si importante dans le quotidien des élèves.

Plus généralement, j’apprécie la dynamique donnée à l’École par la création de CentraleSupélec et de l’Université Paris-Saclay. C’est aussi pour encourager cette dynamique que je continuerai à soutenir la Fondation CentraleSupélec.