Philippe Theys (1971), fidèle donateur

Philippe Theys (1971), fidèle donateur

CentraleSupélec est mon alma mater

Je souhaite offrir aux étudiants la chance qui a été la mienne.

L’École Centrale Paris, devenue CentraleSupélec, est mon alma mater. Elle m’a apporté une formation d’une grande qualité, aussi bien sur le plan technique que philosophique. J’ai eu une carrière très riche, j’ai vécu avec ma famille dans une dizaine de pays et notamment au Texas, j’ai écrit deux livres et des dizaines d’articles techniques. Puis, après avoir pris ma retraite, je suis devenu consultant pour de grandes sociétés pétrolières. J’ai eu beaucoup de chance, et il nous a paru naturel, à mon épouse Odile et à moi, d’offrir cette chance aux étudiants d’aujourd’hui.

« La Fondation nous a offert la possibilité de répartir nos dons entre la France et les États-Unis. »

Il nous a semblé naturel de donner, mais aussi de transmettre.

Après avoir échangé avec l’équipe de la Fondation, nous sommes tombés d’accord sur la création d’un fonds de bourses qui répondait parfaitement à notre double attente : soutenir les étudiants et le faire dans la durée à travers un engagement pluriannuel. De plus, étant citoyens français et américains, la Fondation nous a offert la possibilité de répartir nos dons entre la France et les États-Unis au travers de la structure Friends of CS, Inc., et de bénéficier ainsi des déductions fiscales liées à ces dons.

Nous avons également décidé de souscrire une assurance-vie en faveur de la Fondation CentraleSupélec. Nous avons sept petits-enfants qui recevront chacun une part de notre héritage, mais il nous a semblé important de transmettre aussi à la communauté. C’est pour nous un moyen de laisser une empreinte, une trace supplémentaire qui sera utile aux étudiants dans la durée.