Avec 25% d’enseignants-chercheurs impliqués de façon pérenne dans les domaines de la Santé et du Vivant dans l’ensemble des laboratoires de l’École, de nombreux enseignements dédiés à la santé tout au long du cursus ingénieur, 13 hôpitaux et organismes de recherche partenaires, et tout autant d’entreprises, CentraleSupélec s’engage avec force pour mettre
les Sciences de l’ingénieur au service de notre santé.
Pour soutenir cette ambition qui s’illustre par de nombreuses innovations et des apports majeurs, constituons ensemble un fonds dédié :
Pour contribuer à la formation
des ingénieurs dont le monde médical a besoin
Pour soutenir l’excellence de la recherche CentraleSupélec dans le domaine de la Santé
Pour accompagner les start-ups de l’École qui innovent pour notre santé
Vos dons à la Fondation CentraleSupélec sont déductibles :
Parce que les sciences de l’ingénieur seront au cœur des avancées médicales de demain, ensemble, soutenons l’ambition de notre École pour la santé et faisons rayonner dans le monde son excellence scientifique.
© Fondation CentraleSupélec, 2021
Fondation CentraleSupélec
3 rue Joliot-Curie
Plateau de Moulon
91190 Gif-sur-Yvette
En 1e et 2e années, déjà 4 Séquences Thématiques de 8 semaines, alliant connaissances théoriques, apports méthodologiques et résolution d’un problème réel posé par un partenaire industriel : bioingénierie, sciences des données appliquées à la santé, systèmes intelligents embarqués pour la santé, optimisation et gestion des flux de systèmes complexes.
En 3e année, la spécialisation « Healthcare et services en biomédical », qui forme des ingénieurs compétents pour développer des technologies innovantes pour les dispositifs de santé et des outils de prévention, de diagnostic ou de traitement thérapeutique, et pour analyser et améliorer l’efficacité des systèmes de soins.
Faire un don aujourd’hui, c’est contribuer à ce développement à travers la création de nouveaux cours et supports pédagogiques, le soutien aux projets d’élèves, ou encore à l’appui aux laboratoires impliqués dans ces enseignements…
Fruit de la collaboration entre 2 laboratoires de l’École (Centre de Vision Numérique et MICS*), l’Institut Gustave Roussy et l’Université Paris-Saclay, PRISM a pour mission de modéliser le cancer à l’échelle individuelle en créant des avatars numériques de tumeurs.
Labellisé IHU puis Centre National de Médecine de Précision, il s’appuie sur l’immense volume de données cliniques, biologiques, et moléculaires, et sur leur analyse par intelligence artificielle, pour identifier très tôt dans la maladie les patients porteurs de cancers les plus agressifs, sans attendre les rechutes, afin de leur proposer le traitement le plus approprié. Grâce à l’intelligence artificielle, PRISM ambitionne de révolutionner la compréhension des mécanismes de développement et de progression des cancers, en vue de développer des outils de diagnostic et de pronostic plus fins, et des thérapies personnalisées.
Faire un don aujourd’hui, c’est contribuer au financement de thèses (par exemple 100 K€ dans le cadre du projet PRISM) et à l’achat d’équipements de pointe pour des projets aussi prometteurs.
* Mathématiques et Informatique pour la Complexité et les Systèmes
Méthodes statistiques, traitement d’images, intelligence artificielle, automatique…
Différents laboratoires de l’École mettent ces disciplines au service du développement d’une médecine plus personnalisée.
En collaboration avec l’hôpital Henri Mondor, à Créteil, le professeur Antoine Chaillet (Laboratoire des signaux et systèmes) s’appuie par exemple sur les principes de l’automatique pour atténuer les oscillations cérébrales intempestives caractéristiques de la maladie de Parkinson. Il travaille à un traitement par stimulation cérébrale dont l’intensité et la forme du signal s’adapteraient en temps réel à l’état du patient, et ce à partir de mesures provenant d’électrodes implantées, pour rendre le traitement moins invasif et plus efficace.
Faire un don aujourd’hui, c’est contribuer au financement de thèses et à l’achat d’équipements de pointe pour des projets aussi prometteurs.
Par la conception de systèmes bioartificiels et la création d’organes fonctionnels, la bio-ingénierie ouvre la voie à une médecine régénérative permettant la réparation ou le remplacement de tissus et d’organes endommagés.
Au sein du laboratoire LGPM(1), l’équipe de Didier Letourneur a par exemple mis au point, en collaboration avec l’INSERM et l’hôpital Bichat, une formulation d’hydrogels de polysaccharides, des biomatériaux utilisés pour l’ingénierie tissulaire.
Les équipes du laboratoire MSSMat(2) explorent quant à elles de nouvelles compositions et voies d’élaboration de matériaux appliqués à la biomécanique des prothèses, tout en menant un projet de modélisation et de simulation numérique de bioréacteurs à perfusion pour la reconstruction osseuse.
Faire un don aujourd’hui, c’est contribuer au financement de thèses et à l’achat d’équipements de pointe pour des projets aussi prometteurs.
(1) Laboratoire Génie des Procédés et Matériaux
(2) Mécanique des Sols, Structures et Matériaux
En 2020, la Fondation CentraleSupélec et l’École lançaient un appel à projets « Data/IA » pour soutenir les projets répondant à des problématiques soulevées par la crise sanitaire.
5 lauréats ont été sélectionnés parmi 37 candidats. Parmi eux : HAJIME AI, co-fondée par Simon Devaradja, ingénieur cursus Supélec 2017, qui fusionne les sciences numériques et comportementales dans le domaine de la santé. La start-up utilise l’IA et la data science afin d’établir un profiling de patients selon leur intention de prendre leur traitement, et de définir ainsi les meilleures stratégies de changement de comportement à mettre en place avec eux pour améliorer leur observance médicale.
Faire un don aujourd’hui, c’est soutenir des start-ups aussi innovantes par l’attribution de bourses entrepreneuriales, des programmes de mentoring ou encore le financement de frais de prototypage.